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Les sondes

Les sondes sont des instruments médicaux utilisés pour l'insertion dans l'urètre, la canal raccordant la vessie au monde extérieur. Ce sont de simples tiges de métal polies avec une poignée et une extrémité arrondie. Elles existent en différentes tailles très proches l'une de l'autre (la différence de diamètre est de l'ordre du ½ millimètre). Dans le cadre d'une utilisation médicale, le but est d'élargir de manière douce et progressive l'urètre. Dans un cadre non médical, elles peuvent être la source d'une stimulation sexuelle exceptionnelle et un instrument utilisé dans un échange puissant ou une expérience de soumission/domination, voire SM.

Ce dossier ne couvre que les jeux de sonde entre hommes. Les sondes pour les femmes sont plus courtes, faites pour une urètre plus courte, de forme différente et elles ont leurs propres difficultés d'utilisation. Les femmes sont également plus sensibles aux infections. Certaines parties de ce dossier pourront malgré tout les intéresser, mais les aspects techniques sont très largement inapplicables. Certaines sondes faites pour une utilisation sur les femmes ne peuvent pas l'être sur l'homme et vice versa.

Un dernier mot : ce genre de jeu n'est pas quelque chose que vous devez entreprendre avec quelqu'un qui ne serait pas expérimenté ou qui ne comprendrait pas toutes les précautions nécessaires. La moindre négligence peut provoquer une infection, une blessure. Vous devez être amené à ce jeu par une personne expérimentée, attentive et qui tient suffisamment à vous pour prendre toutes les précautions nécessaires dont nous allons parler. Ce document se veut être informatif et préventif de toute négligence. Ceci dit, ne soyez pas terrifié avant d'avoir une bonne raison : lisez bien la section "Cela fait-il mal ?. Il existe certains plaisirs que vous n'avez peut-être pas encore découverts.

Quels accessoires utiliser ?

Certains utilisent tout et n'importe quoi pour ces pratiques. Sachez néanmoins que l'introduction d'éléments inappropriés dans l'urètre peut entraîner des lésions graves nécessitant des soins importants pouvant aller jusqu'à l'intervention chirurgicale.

Les sondes

Il existe deux types de sondes communément utilisées, elles portent d'ailleurs le nom de leur inventeur. Les sondes de Van Buren ont une longueur d'environ 30 centimètres et sont en forme de "J" : il y a un seul coude au niveau de l'extrémité. Les sondes de Dittle sont droites et font à peu près la même longueur. Évitez les sondes en forme de "S" que l'on trouve parfois dans les sex-shop : elles sont à l'usage des femmes.

Quel est le meilleur modèle est juste une question de goûts. Il y a une courbe dans le système urinaire de l'homme : le coude du modèle Van Buren est étudié pour s'y adapter, permettant ainsi à la sonde de glisser facilement dans le pénis afin d'atteindre la vessie. Si, pendant l'insertion, vous avez une érection il convient d'attendre que celle-ci retombe puisque la sonde incurvée ne peut être insérée correctement. Il est possible de négocier cette courbe avec une sonde droite de Dittle en changeant l'angle du pénis pendant l'insertion mais ceci demande un peu plus d'habilité et de perception de la part de la personne qui pose la sonde. D'un côté purement pratique, je préfère les sondes droites (Dittle).

Les tailles

Le diamètre des sondes, cathéters et autres instruments médicaux est exprimé dans le système de mesure français.  Une unité française (Fr) représente 0,33 millimètres (nous dirons 0,3 pour des facilités de calcul). Ainsi un instrument qui fait 20 Fr possède un diamètre de 20 * 0,3 soit 6 millimètres de diamètre.

La plupart des hommes peuvent prendre sans aucun problème une sonde plus large que ce que vous pouvez imaginer. Je n'ai jamais rencontré un adulte qui ne puisse prendre au moins 18 Fr soit plus de 5 millimètres. Ma collection personnelle commence à 24 Fr (7 mm) à 50 Fr (15mm) : de quoi combler même les plus expérimentés. Quelqu'un d'inhabitué peut supporter entre 24 Fr (8 mm) et 29 Fr (9,24 mm). Bien évidemment, l'idée de base est de tendre légèrement l'urètre et ce de plus en plus.

N'achetez pas de sondes avant d'avoir eu une expérience de cette pratique avec quelqu'un de compétent pour vous aider à découvrir les meilleurs sensations sans prendre de risques. Cela vous donnera aussi la possibilité de découvrir quelles sont les bonnes tailles pour vous.

Les sondes sont onéreuses en raison de la précision de leurs dimensions et la qualité de leur finition mais aussi par ce que leur production n'a pas vraiment un caractère industriel.

Mes sondes qui sont fabriquées en Allemagne  sont vendues aux alentours de 45 € pièce ce qui représente un investissement de 600 € pour un jeu complet. Je ne saurai vous conseiller de les acheter dans les magasins de matériel médical plutôt que dans les sex-shop.

Stérilisation

La stérilisation est importante dans cette pratique. En dehors de la possibilité de transmettre le virus du VIH, une utilisation sans stérilisation peut entraîner des infections urinaires. Ma méthode, bien qu'étrange, semble donner une résultat satisfaisant puisque je n'ai jamais eu d'infection en plusieurs années de pratique.

Voici donc la technique que j'utilise :

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Après utilisation, les sondes sont lavées dans un mélange d'eau bouillante et de détergent. Le détergent retire la pellicule de lubrifiant et permet de supprimer d'éventuelles souches virales.

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Les sondes sont plongées dans une solutions d'eau de javel (1:10) pendant ½ heure. Le but de cette phase est principalement de détruire le virus du VIH s'il est présent. Veillez à utiliser un récipient en verre ou en plastique, un récipient en métal provoquerait une réaction d'électrolyse avec la présence des sondes dans la javel ce qui entraînerait une décoloration et/ou une corrosion.

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Les sondes sont rincées et déposées dans un linge propre. Le linge et les sondes sont placés dans une autocuiseur, l'équivalent domestique de l'autoclave pendant 15 minutes. A l'issue, le tout est placé dans un récipient en plastique jusqu'à la prochaine utilisation.

Quels autres équipements sont nécessaires ?

En dehors des sondes elles-mêmes, vous aurez besoin de :

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Une grande quantité de lubrifiant stérile sans conservateur ou nonoxynol-9 qui sont hautement irritants pour l'urètre. KY fera très bien l'affaire.

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Une seringue hypodermique sans aiguille : 10-12ml (cc)

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Un plateau de service ordinaire (de la taille d'un plateau Mac Do)

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Une serviette stérile pour les mains ou tout au moins propre.

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De l'alcool et des compresses ou du papier absorbant.

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Une lavette propre et un savon antibactérien.

Tous ces articles spéciaux sont disponibles dans les magasins de matériel médical.

Préparation avant de commencer....

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Le passif doit se relaxer confortablement sur le dos, allongé sur une table ou un lit assez ferme ; il vaut mieux être à plat que dans un sling. Lavez la bites et les couilles du passif avec de l'eau chaude et du savon anti-bactérien. Le but de cette opération est de détruire les bactéries de surface.

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Etendez la serviette sur le plateau : si vous avez utilisé la technique de stérilisation ci-dessus, ouvrez juste la boite. La serviette dans laquelles sont disposées les sondes est idéale. Ne touchez pas les sondes, excepté par leur poignée.

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Rangez les sondes par ordre de taille de manières à ne pas avoir à les trier d'une seule main plus tard.

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Remplissez la seringue avec du gel en évitant la formation de grosses bulles d'air.

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Mettez les gants : à partir de ce moment faîtes attention à tout ce que vous touchez.

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Utilisez le tissu (ou papier absorbant) pour nettoyer chaque sonde avec de l'alcool afin d'éliminer toutes les bactéries présentes dans l'air ou à la suite d'un contact.

Technique d'insertion

La technique ne peut pas vraiment être apprise en lisant. Ce dossier est destiné à vous donner une idée de ce que cela implique et des plaisirs possibles.

Il serait préférable pour vous d'assister à une démonstration pour réellement comprendre la méthode, l'idéal étant d'essayer avec un actif expérimenté que vous soyez actif ou passif.

Si vous êtes droitier, vous utiliserez les instruments avec cette main ; votre main gauche tiendra la queue de votre partenaire.

Avant de commencer, examinez attentivement, ouvrez délicatement le méat. Estimez quelle largeur maximum de sonde il est possible d'introduire à l'intérieur. Vous commencerez par une taille relativement importante. En effet, les sondes les plus larges sont moins "pointues" et donc plus douces lorsqu'elles glissent à l'intérieur.

Placez l'extrémité de la seringue remplie de gel près du méat ; mettez une petite quantité de gel juste sur l'ouverture afin de lubrifier le passage de la seringue dans l'orifice du pénis. Tenez le sexe de manière lâche et placez délicatement l'embout de la seringue à l'intérieur de l'urètre ; injectez une quantité généreuse de lubrifiant. Retirez la seringue tandis que vous pressez le sexe afin d'éviter que le gel ne sorte. Certaines personnes peuvent ressentir une légère sensation de chaleur à l'extrémité du sexe. Ceci est dû à la différence dans l'équilibre acide/alcalin du lubrifiant et celui de la muqueuse. Cette sensation disparaît au bout de quelques minutes et n'a rien d'inquiétant.

En maintenant le sexe bien droit (former un angle de 90° par rapport au corps), introduisez doucement la sonde sur environ deux centimètres. Pointez la légèrement vers la base de la queue. La sonde va avoir une tendance naturelle à glisser à l'intérieur en raison de la gravité (merci monsieur Newton). Votre rôle est alors de la retenir et de la guider - ne poussez surtout pas ! Si la sonde arrête de glisser, tendez légèrement le sexe afin de ramener la chair vers le haut ; cela redressera l'urètre et permettra à la sonde de trouver son chemin.

Ne jamais pousser une sonde à l'intérieur. Votre job est simplement de guider la sonde et de l'empêcher de rentrer trop rapidement ; ceci est particulièrement vrai  jusqu'à ce que vous ayez une bonne expérience technique.

Quand la sonde est introduite et ne dépasse plus que  de 2 cm changez l'angle de la queue : abaissez la doucement pour qu'elle forme un angle de 45° : redressez la progressivement. Ceci vous permettra de négocier le virage de la "tuyauterie" et la sonde pourra aller jusqu'à la vessie. Une fois encore, guidez la sonde de manière très douce : ne poussez pas !

Retirez la sonde doucement (un passif m'a dit un jour que le retrait ressemblait à un orgasme au ralenti). Vous pouvez effectuer un mouvement de va et vient si le passif apprécie cette sensation. Les sondes de taille plus importante auront une tendance à glisser plus rapidement en raison de leur poids.

Injectez un peu plus de gel que précédemment et passez à la sonde de taille supérieure. Continuez de cette manière jusqu'à ce que le passif éprouve une gêne ; n'hésitez pas à utiliser beaucoup de gel. Très souvent la gêne occasionnée par la taille de la sonde sera ressentie comme une légère brûlure au bout du sexe. Vous pouvez dire que vous avez atteint la taille maximale supportée par le passif quand la peau au niveau du méat commence à coller à la sonde lors de l'insertion et du retrait, même si cela est bien lubrifié. Les tissus forment un léger entonnoir quand la sonde est manipulée. Passer à la taille supérieure va élargir l'urètre qui reprendra sa taille normale à moins que ce traitement soit pratiqué pendant 3 ou 4 minutes.

Après avoir retiré la sonde la plus large, débarrassez doucement le sexe de votre partenaire du gel qu'il contient. Préparez les sondes pour le nettoyage et la stérilisation avant un prochain usage.

Cela est-il douloureux ?

Il n'y a aucune raison pour que l'utilisation de sondes soit douloureuse si les précautions sont prises et que la technique est bonne. Certains mecs ont dû subir un prélèvement urétral lors d'un dépistage de blennorragie ; ce test se pratique par le grattage de l'intérieur du sexe à l'aide d'un coton tige. Ceci peut être une expérience bien plus douloureuse car le coton est bien plus rêche et le manque de lubrifiant le rend irritant. Les souvenirs de telles expériences peuvent entraîner chez les passifs plus de peur que de raison.

Vous découvrirez que le passif éprouve un grand plaisir quand la sonde est insérée jusqu'à une certaine profondeur. L'actif peut manipuler doucement la sonde à ce niveau ; en fait la sonde stimule intensément la prostate, d'une manière impossible avec quelque autre technique sexuelle que ce soit.

La plupart des passifs aiment voir l'insertion, spécialement quand la sonde disparaît à l'intérieur du sexe du fait de son propre poids.

Si les sondes sont correctement utilisées, avec une quantité de lubrifiant suffisante et sans dépasser la taille maximale supportable par le passif, il ne doit pas y avoir de réelle douleur. Il peut y avoir une gêne initiale qui ouvrira la chemin vers un immense plaisir après le premier moment d'anxiété.

Il peut aussi y avoir une légère gêne après, spécialement s'il y a eu extension : il y aura une légère sensation de brûlure en urinant causée par l'irritation des tissus de l'urètre. Cela doit disparaître dans les 24 heures, mais le passif doit se rappeler de boire beaucoup afin de "laver le système à grande eau".

Santé et sécurité

Que faire si le passif ressent une gêne extrême simplement lors de l'injection initiale du lubrifiant ?

Ce cas est extrêmement rare. Il s'agit probablement d'une forme d'hystérie. Apparemment, ces personnes ne doivent pas continuer dans ce genre de pratiques. Peut-être ont-elles la phobie de quelque chose pénétrant dans leur sexe.  Un passif bien connu et très réfléchi m'a demandé d'avoir un trip "sonde" avec lui tout simplement parce qu'il était terrifié par cette pratique ; il a reconnu qu'avec l'aide d'un actif expérimenté il pouvait laisser échapper des peurs accumulées. Dans un cadre médical, il est courant d'anesthésier le pénis avant d'employer des sondes : certains gels comme le KY contiennent un léger dosage de Xylocaïne ou Lidocaïne. Je ne recommande pas l'utilisation de ces gels dans le cadre de pratiques sexuelles car la douleur est le meilleur indicateur que soit la technique n'est pas la bonne soit les limites du passif ont été atteintes. Deuxièmement, ceux d'entre-nous qui ont ces pratiques ont envie d'éprouver des sensations fortes, pas de les supprimer.

Que faire si l'on rencontre un resserrement à l'intérieur du pénis ?

Si la sonde rentre bien et se bloque au bout d'un centimètre ou deux, cela est dû à la présence d'un tissu (peut-être causé par une précédente infection gonococcique). Ce tissus solide dans l'urètre ne se détend pas facilement ; je recommande l'usage de sondes dont la teille peut passer ce rétrécissement facilement. On peut noter la présence de nombreux capillaires qui entourent l'urètre, des vaisseaux sanguins aussi fins qu'un cheveu. Quand les capillaires sont tendus, ils laissent parfois fuir quelques cellules sanguines ; ceci rende le lubrifiant légèrement rose. Il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Mais il s'agit d'un bon indicateur qui vous permet de dire qu'il convient d'arrêter pour cette séance et reprendre un autre jour.

D'un autre côté, un écoulement de sang est un signe sérieux. Il indique la possibilité d'un dommage et doit arrêter le jeu immédiatement. S'il y a plus qu'un bref écoulement de sang, adressez-vous au service des urgences. Quoi qu'il en soit, si vous avez suivi les conseils que je vous ai donnés précédemment, et que la seule force utilisée est la gravité, c'est un événement désagréable extrêmement rare.

Une précaution importante : les passifs ressentent souvent une forte impulsion à se masturber lorsqu'une sonde a été insérée. Cela doit être éviter en raison du risque de blessure. Les passifs demandent souvent à l'actif d'être plus vigoureux lors de l'insertion. C'est un moment où les actifs doivent être responsables et garder le contrôle et faire seulement ce qui est bon pour le passif. L'insertion des sondes procure des sensations tellement érotiques et inhabituelles pour certaines personnes qu'elles doivent contrôler leur comportement.

Une infection est la plus probable des complications. Suivez rigoureusement les recommandations que je vous ai données ; comme je l'ai déjà dit. Je n'ai jamais eu de grave infection en plus de 5 ans de pratique. Peu de temps après une séance, le passif peut avoir une importante envie d'uriner et il peut n'y avoir que très peu de liquide. Cela indique simplement que vous avez stimulé des nerfs qui, en temps ordinaire, signalent une vessie pleine. Le passif doit boire abondamment pour évacuer toute bactérie potentielle. Il peut y avoir aussi une sensation de brûlure pendant les 24 heures qui suivent ; cela signifie simplement que vous avez légèrement irrité l'urètre. Si la brûlure continue, ou si vous avez une importante envie d'uriner après ce délai, vous pouvez avoir une infection urinaire. Je ne saurai vous conseiller de consulter un médecin.

Si une telle infection se produit, elle peut être fort déplaisante mais c'est rarement un problème si une aide médicale est apportée et elle répond bien à un traitement antibiotique. Les symptômes qui apparaissent normalement dans les deux jours qui suivent le rapport, peuvent être une gêne dans la vessie, une constante envie d'uriner, des urines troubles ou une forte transpiration. Consultez un médecin ou un urologue ; ravalez votre gêne et expliquez leur ce qui a vraisemblablement occasionné cette infection. Ne remettez pas à plus tard : ces infections peuvent occasionner de sérieux problèmes si on les laisse s'installer. Soyez sûr d'être complètement remis avant de vous adonner à nouveau à vos jeux de sondes, et à vrai dire toute autre sorte de jeu urétral ou urinaire.

Expérience personnelle

J'ai commencé les jeux urétraux en solo très jeune. Je devais avoir 15 ou 16 ans. Une curiosité naturelle m'a poussé dans cette voie que je suis toujours.

Adolescent, j'utilisais des objets tels que des coton-tiges, des tubes en plastique et bien d'autres choses encore que je n'utiliserai certainement plus maintenant que j'ai une certaine expérience. Je continue toujours et je recherche l'élargissement de l'urètre. J'aime beaucoup les expériences réciproques - rien ne peut me faire plus bander que de regarder ou de participer à un plan sonde.

Conclusion

A la lecture de ce dossier, vous êtes en possession d'informations utiles. Le sens commun après l'avoir lu est le meilleur moyen de jouer de manière safe, agréable et sans danger.

La plupart de mes connaissances viennent de mon expérience personnelle ainsi que de diverses informations médicales venant d'amis ou d'autres mecs ayant ces pratiques. Comme je l'ai mentionné précédemment, je pense avoir une bonne et complète information sur la pratique des jeux urétraux et comment le faire correctement... Si vous avez des éléments à apporter à ce dossier ou si vous désirez obtenir de plus amples informations, n'hésitez pas à me contacter.

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